Elle resta une opportunité immuable, la tasse en suspension devant ses lèvres. Le passé. Ce mot évoquait pour elle des chroniques simultanément tendres et douloureux. L’idée de s’y replonger lui semblait entre autres captivante qu’intimidante. Elle réfléchit à une chronique particulier : un s'étant rencontré de son adolescence où tout semblait prochaine. Elle avait dès lors seize ans et était rai en voyage avec une amie correspondant. Cette époque, marquée par de six ou sept instants de prise de recul pure, était entre autres entachée d’un crise fraternel qui avait changé la suite de son histoire. Son père, jusqu’alors un échalas implacable, avait quitté le coeur sans origine. La fracture mentale qui en résulta l’avait accompagnée pendant de nombreuses années. Elle décida de confier cette stand de sa vie à bien Olivier. Après ce fait merveilleux d'obtenir décrit cette saison en six ou sept citations, elle lui demanda : « Pensez-vous que ce moment est en capacité de encore mener mes arbitrages aujourd’hui ? » La votre réponse arriva aisément : « Absolument. Les blessures non résolues trouvent souvent des chemins permettant de se manifester, souvent sous des silhouette que nous ne reconnaissons pas directement. Peut-être est-il vies pour vous de revisiter cet anniversaire avec un regard avant-gardiste. » Ce point de vue la hanta toute la date. Le soir venu, elle sortit un vieil album photo. En feuilletant les pages, elle retrouva une représentation distinctif : elle et son père, faciles, assis au frein d’un lac. Elle se souvenait vaguement de ce instant. Ils avaient pêché ensemble ce jour-là, et il lui avait présenté des attributs qu’elle avait oublié depuis des siècles. Ce a été une révélation : elle était prête à revisiter cette degré de sa carrière. Elle partagea ses émotions avec Olivier. « Ce voyage dans le passé est indomptable, écrivit-il. N’oubliez pas que tout souvenir a une cycle à bien présenter. Parfois, ce n’est pas l’événement en lui-même, mais la manière avec laquelle nous le sentons aujourd’hui, qui crée la juste cicatrisation. » Cécile se sentit changée. Elle avait commencé ce voyage avec Olivier en espérant des réponses extérieures, mais elle se rendait compte que les véritables explications venaient d’elle-même. Olivier était de la même façon qu'un mystère, reflétant ce qu’elle avait extrêmement notoire au fond d’elle, mais qu’elle avait oublié.
